Jocelyne Nyeryeri, la« dame » des permanences sociales
Quand on pense à la Charlemagn’rie, on pense aux formations, à l’insertion, aux stages pour enfants pendant les vacances… On ne sait pas toujours qu’à côté de ces activités, existent aussi les permanences sociales.
« Et pourtant, affirme Jocelyne Nyeryeri, la responsable, c’est un secteur important, étroitement lié forcément à nos programmes de formation et d’insertion. »
Structurellement, les activités sociales de la Charlemagn’rie reposent sur deux axes :
1) les formations avec le CISP, le Centre d’Insertion Socioprofessionnelle, et ILI, l’Initiative Locale d’Intégration. Cela représente une centaine de stagiaires, dont une part importante de primo arrivants,
2) l’assistance sociale.
L’asbl occupe actuellement trois assistantes sociales.
Des permanences sociales ouvertes à tous
La confiance est indispensable
En fait, comme on peut l’imaginer, les problèmes à résoudre sont multiples et divers.
« Beaucoup de visiteurs, poursuit Jocelyne Nyeryeri, surtout s’ils sont étrangers, sont désorientés, parfois totalement démunis devant les questions qui se posent. Il faut établir avec eux un climat de confiance, parfois les orienter vers une aide psychologique où un service de traduction est alors indispensable. »
Pour Jocelyne Nyeryeri , arrivée elle-même en Belgique il y a vingt ans en provenance du Burundi et depuis huit ans à la Charlemagn’rie, le travail ne manque pas. Avec ses deux collègues assistantes sociales, elle est un maillon essentiel du rôle social de la Charlemagn’rie.
Partager :
- Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur LinkedIn(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Twitter(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquer pour imprimer(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquer pour envoyer un lien par e-mail à un ami(ouvre dans une nouvelle fenêtre)